vendredi 8 décembre 2006

PPP = SSS

Ce billet s'adresse exclusivement aux MÉCHANTS MAUDITS PROFESSEURS et ne concerne nullement les VRAIS BONS PROFESSEURS qui sont toujours majoritaire, sois dit en passant.
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Professeur public primaire :Sadique syndiqué salarié PPP=SSS

Mon expérience personnel, soit en tant qu'enfant ou que parent, me force de constater que les ratés universitaires que sont nos pseudo-professeurs publics au primaire, sont des frustrés qui se défoulent lâchement sur les enfants.
En effet il ne se passe pas une seule semaine du calendrier scolaire sans que les médias mettent à jour un nouveau scandale. Avec non seulement le corps professorales au Québec mais aussi avec les membres de la direction des écoles ou commissions scolaires, les différents spécialistes intervenants, personnel de soutien, service de garde, syndicats, ministère de l'éducation, etc.
Pas étonnant l'exode vers le privée des enfants. Exode d'autant plus ralentit par des considérations économiques et disponibilité des sièges de classe. Malheureusement les enfants issues de milieu moins aisé souvent plus motivé n'ont pas accès au privée et subissent l'évolution de la violence dans les institutions gouvernementales : du physique d'autrefois au psychologique d'aujourd'hui.
Cette nouvelle forme de contrôle et de manipulation de la génération future est beaucoup plus pernicieuse et très difficilement prouvable auprès des différents intervenants (tribunaux inclus).
De plus, toutes tentatives de dénonciation de la part d'un enfant le met immédiatement à l'index et la machine de répression scolaire débute sans l'assentiment des parents et si ceux-ci désirent intervenir (ce qui est parfaitement légitime de la part de parents normaux), le personnel appuyé de la directions et des différentes ressources internes et externes, guide selon leurs barèmes les parents voulant s'impliqués dans 'leurs affaires'.
Dans le cas d'une pleine participation du tandem parents enfant le processus de résolution de problème suit le cours normal prévue dans le code du ministère. Si il y a une résistance des parents ils sont irrémédiablement écarté du processus et ciblé comme élément perturbateur et rebelle. L'enfant en subira les conséquences et tant que les parents n'auront pas rentré dans les rangs c'est le petit qui porte sur ses épaules le fardeau de l'incompréhension des règles ministérielles.
Il est d'ailleurs étrange de constaté que l'institution ayant le plus causé de fautes dans le passé aux enfants est légué son noms à nos institutions gouvernementales : les ministères.
Donc, après avoir sorti le diable catholique de nos écoles, nous avonsvu apparaître le démon qui syndique. Est-ce mieux ? Assurément pas car bien que les intérêts des uns sont les mêmes que les autres ajouté de considérationéconomique néfaste pour la société surtout pour les faibles qui payent le plus i.e.les enfants.

3 commentaires:

Anonyme a dit...

C'est donc vrai ...

Peter Wawa a dit...

Hé oui, c'est vrai. Il n'y a rien dans ce texte à reprendre. Il faudrait même en ajouter.

A+
Peter

Anonyme a dit...

Bonjour,

Vous avez laissé votre lien dans mon Blogue : Un petit saut dans mes délires.

Je trouve intéressant votre blogue parce que, en effet, il traite d'un autre volet de l'abus sur les enfants.

Plus on sera à dénoncer de tels agissements et plus on pourra agir pour les contrer.

Dans mon site Web personnel, je parle un peu de l'abus envers les enfants. Si vous me le permettez, j'ajouterai un lien vers votre blogue.

Voici le lien vers mon site :
http://www3.sympatico.ca/creationsgc/delires/bh-enfants_maltraites.htm